8 juillet 2012

L’enfant terrible de l’horreur

Après ses romans Carrie paru en 1974 et Salem paru l’année suivante. Ces deux romans rendus Best Seller depuis leurs époques. L’enfant Lumière = Shining, troisième roman publier en 1977 d’un auteur qu’on ne présente plus et dont la réputation n’est plus à faire.
Je parle bien sur de Stephen King.

L'Overlook Palace est célèbre pour sa beauté, son confort, son luxe. De notoriété publique, l'Overlook Palace est un des plus beaux lieux du monde.

Pourtant, c'est bien autre chose que vont y découvrir le nouveau gardien Jack Torrance, sa femme Wendy et leur jeune fils Danny.
     — Pour Jack Torrance, le gardiennage de ce palace, fermé et cerné par la neige en hiver, représente un moyen d'échapper à l'échec, à l'alcoolisme et au désespoir.
     — Pour Wendy, cet hôtel représente un refuge solitaire et protégé ou elle pourra tenter de se reconstruire un foyer menacé.
     — Et pour Danny ?... Danny, lui, possède le don (un don qui est souvent une malédiction) de sentir, de voir et de ressusciter les choses, les êtres et les événements que l'ont croit morts et qui reprennent vie. Ce qu'il voit, lui, dans les cent dix chambres vides de l'Overlook, c'est la présence du démon, des forces du mal. Les forces du mal qui les attendaient, EUX. Source : NooSFere

Changement de propos, ont revient à la réalité, comment j’ai trouver ce roman.
6e roman de Stephen King que j’ai lu à l’heure actuelle, je ne suis toujours pas déçu du grand maître de l’horreur. Comment expliquer tout ça en quelques mots.
Bien que très proche d’un scénario de film d’horreur, il en est point un.
J’y reviendrais plus tard.

Entre l’ancien alcoolisme de Jack Torrance, la surprotection de Wendy Torrance.
Le petit Danny à peine âgée de 5ans et bla bla bla. Je devais donc baser ma lecture sur ses points uniques, c’est réussi.

J’ai bien apprécié cette lecture qui m’était donc fortement conseiller par plusieurs gens.
Il est difficile de déterminer au premier abord qui fera quoi.  Ce qui à mon sens est du pur génie, du début à la fin ce roman porte un certain malaise lors de sa lecture. Le fait de ne pas tomber dans le stéréotype aide beaucoup aussi.
L’attachement des personnages est inévitable bien que tiré quelque peu par les cheveux. Durant quelques rares passages, j’ai senti une certaine longueur mais qui à mon sens ajoute un petit plus au roman. Sans pour autant s’ennuyer ce roman permet de passer un bon moment. 
Que l’ont soit amateur ou fan fini de Stephen King, je conseil ce roman à toutes et à tous.

Comment parler du roman, sans parler des adaptations cinéma & télé.
Tout d’abord il y a eu Shining réalisé par Stanley Kubrik en 1980, par la suite
ll y a eu Shining réalisé par : Mick Garris, une mini série d’une durée de 4h.

Source : NooSFere, Wikipédia

Aucun commentaire:

Publier un commentaire