Je parle bien sur de
Stephen King.
L'Overlook Palace est célèbre pour sa beauté, son confort,
son luxe. De notoriété publique, l'Overlook Palace est un des plus beaux lieux
du monde.
Pourtant, c'est bien autre chose que vont y découvrir le
nouveau gardien Jack Torrance, sa femme Wendy et leur jeune fils Danny.
— Pour Jack
Torrance, le gardiennage de ce palace, fermé et cerné par la neige en hiver,
représente un moyen d'échapper à l'échec, à l'alcoolisme et au désespoir.
— Pour Wendy, cet
hôtel représente un refuge solitaire et protégé ou elle pourra tenter de se
reconstruire un foyer menacé.
— Et pour Danny
?... Danny, lui, possède le don (un don qui est souvent une malédiction) de
sentir, de voir et de ressusciter les choses, les êtres et les événements que
l'ont croit morts et qui reprennent vie. Ce qu'il voit, lui, dans les cent dix
chambres vides de l'Overlook, c'est la présence du démon, des forces du mal. Les
forces du mal qui les attendaient, EUX. Source : NooSFere
Changement de propos, ont revient à la réalité, comment j’ai
trouver ce roman.
6e roman de Stephen King que j’ai lu à l’heure
actuelle, je ne suis toujours pas déçu du grand maître de l’horreur. Comment
expliquer tout ça en quelques mots.
Bien que très proche d’un scénario de film d’horreur, il en
est point un.
J’y reviendrais plus tard.
Entre l’ancien alcoolisme de Jack Torrance, la surprotection
de Wendy Torrance.
Le petit Danny à peine âgée de 5ans et bla bla bla. Je
devais donc baser ma lecture sur ses points uniques, c’est réussi.
J’ai bien apprécié cette lecture qui m’était donc fortement
conseiller par plusieurs gens.
Il est difficile de déterminer au premier abord qui fera
quoi. Ce qui à mon sens est du pur
génie, du début à la fin ce roman porte un certain malaise lors de sa lecture.
Le fait de ne pas tomber dans le stéréotype aide beaucoup aussi.
L’attachement des personnages est inévitable bien que tiré
quelque peu par les cheveux. Durant quelques rares passages, j’ai senti une
certaine longueur mais qui à mon sens ajoute un petit plus au roman. Sans pour
autant s’ennuyer ce roman permet de passer un bon moment.
Que l’ont soit
amateur ou fan fini de Stephen King, je conseil ce roman à toutes et à tous.
Comment parler du roman, sans parler des adaptations cinéma
& télé.
Tout d’abord il y a eu Shining réalisé par Stanley Kubrik
en 1980, par la suite
ll y a eu Shining réalisé par : Mick Garris, une mini
série d’une durée de 4h.
Source : NooSFere, Wikipédia
Source : NooSFere, Wikipédia
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