J'ai lu
Antony Burgess pour ceux et celles qui l'ignore,
c'est aussi lui qui a écris le roman L'orange Mécanique.
Paru en 1962, quelque année plus tôt.
Mais revenons au roman citer plus haut :
Voici un Napoléon sorti de l'histoire majuscule, débarrasse, des gangues officielles et des poncifs.
Un Napoléon qui rit, tempête, trépigne. Et, tout autour, grouillent dans
leur truculence la Famille les maréchaux, les grognards, Barras,TalleyranuI cent autres, tandis que - paradoxe suprême:
Joséphine, l'inconstante, l'infidèle, reste pour ce grand agité de génie le seul havre, la seule nostalgie d'amour, de paix, de permanence... Un Napoléon recréé par un grand écrivain, et si vrai que, à chaque page, on a l'impression de l'avoir connu et quitté la veille.
Joséphine, l'inconstante, l'infidèle, reste pour ce grand agité de génie le seul havre, la seule nostalgie d'amour, de paix, de permanence... Un Napoléon recréé par un grand écrivain, et si vrai que, à chaque page, on a l'impression de l'avoir connu et quitté la veille.
En vérité, j'ai eu beaucoup de mal à me rendre au de la de 60 pages tout juste. Bien que l'auteur présente son roman comme L'orange Ménarique, c'est à dire: déjanter ainsi qu'avec un brin de folie.
On a du mal à rentrer dans ce roman peu connu par certain.
Mis à part le nom de l'auteur, les différences s'arrête là. Le grand défaut de La symphonie Napoléon?
Burgess nous demande à nous lecteurs, d'avoir certaine connaissance en histoire, ce qui n'est pas le cas de tout le monde.
La symphonie Napoléon paru en 1974, soit 12ans après L’Orange mécanique.
De ce que j'ai pu en lire, ce roman décris un Nappoléon débrider et complètement
déconnecter de la réalité. Je ne peut aller plus dans ma critique, faute de l'avoir lu en entier.
Sincèrement : Essayer de relire ce roman, j'suis pas certain.
Source : Wikipédia & BiblioPoche
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