30 août 2014

Longues dates



Sur le seuil de la porte, j'attends avec impatience l'arriver d'une amie de longues dates, qui me direz-vous, eh bien la question est dure à trancher, puisque, depuis de l'eau a couler sous les ponts. Ça fait bien des années que nous nous sommes vues.
Vais-je être surpris ou tout simplement émerveiller de voir celle qui depuis des années me permet de l'appeler simplement sa sœur.


Comme je vous le disais, j'attends avec impatience son arrivée, et sans crier gare, j'entendis la sonnette de la porte qui me fit sitôt bondir de surprise, tel un enfant qui reçoit un cadeau à noël.


Je lui ouvris la porte et tout d'un coup, je la voyais aussi rayonnante que le premier jour de notre rencontre. Je la vois là, devant moi sans gêne ni malice, comment expliquer ce sentiment qui m'habite, l'amour, Non ! La surprise, Non plus !
Devrais-je continuer ou m'arrêter ?


Continuons !


Le contact d'une femme me manquant depuis des années, je ne peux me résoudre à lui faire des avances de tout genre. Comment lui expliquer un sentiment qui n'en est pas un.
Je ne puis deviner ces sentiments au premier regard, mais toute fois, je réussis à deviner ça petit supercherie. Elle enleva son manteau avec grâce avec un certain charme, elle me le donna sitôt et le mit dans une pièce qui me servait à la fois de chambre et de rangement en tout genre


À peine rentrer, elle me demanda si elle pouvait se doucher, je lui répondis :
- Oui, oui sans problème.


Elle me regarda d'un œil vif et alla se préparer pour la douche, entra dans la salle de bains et sitôt et surtout incognito. Je m'avançai à pas feutrer vers la dites porte qui donna sur la salle de bains, pour écouter ou plutôt soutirer quelques informations audibles et intéressantes, ou plutôt je le croyais.
Je collais mon oreille droite sur la porte quand... Sans crier gare, je sentis la porte vibrer, que fais-je, mon secret allait être dévoilé au grand jour, et le malaise allait s'installer à tôt jamais.

C'est ce que je croyais quand j'eus une idée, qui fleurit à l'instant, je décidasse au même instant de cogner à la porte, pour ainsi me sauver d'une telle gêne, je cognais donc, et m'ouvris la porte.


Ce que je vis était si, comment l'expliquer épanouissant, elle était nue, là, de dos à moi, je remarquai ces courbes non sans attirance, je sentais dès lors la bête se réveiller qui sommeillais en moi depuis toutes ces années, comment la calmer.


Comment faire taire cette chose si étrange que l'on appelle inhibition.
- Veux-tu autre chose ? Lui demandais-je.
- Non, ça va aller, si ce n'est qu'un petit détail de dernière minute, frissonnant, je devinais qu'elle avait oublié ça serviette de bain. Je lui offris donc une des miennes, quelle accepta volontiers.


J'ouvris l'armoire qui se trouvait sous les comptoirs, et quel comble de honte à moi, je me peux aller chercher la serviette qu'elle me demanda suite à mon offre. Je me servis et la lui donnai, toujours dos à moi, elle se retourna, avec le peut de gêne qui me restait,
Je fis de même, pour ne pas briser l'image de l'ami connu, il y à de cela des lunes.
D'une voix douche :
- Mon corps n'appartient à personne, il n'est interdit qu'aux mendient et personnes dites impure.


Je compris que je pouvais dès lors me retourner et contempler le corps d'une amie que je ne pouvais voir qu'à travers mes pensers. Qui était si...
Si tôt retourner face à elle, je fixais sans avertissement, ça perd de seins qui...
Elle me dit sans retenu ni tabou :
- Eh, ta le droit de regarder, mais ne pense même pas à les fixer du regard !

Me demandant de sortir, je lui demande donc :
- Tu es si féminine que je n'ose à peine te demander la faveur suivante.
Si mal à l'aise de la voir là, je restais immobile, à admirer ce corps nu s'offrent quasiment à moi.

Non, non, je ne dois pas faire cela, c'est simplement une amie et rien de plus,
Comme convenu. Je suis sorti de la salle de bains, laissant mon amie se doucher.
Quelques instants plus tard, ça douche terminer, part l'entrebâillement de la porte,
Elle me demande de venir la rejoindre :
- Je viens à l'instant, minute ! Occupé dans ma chambre à faire du rangement, je terminais en vitesse pour lui demander ce qu'elle voulût.

Arriver à la porte, toujours par l'entrebâillement de la porte, me demanda d'entrer,
Ce que je fit, et là de nouveau face à moi, me disais avec une voix douce et sans retenu:
- Peux-tu m'essuyer le dos ? J'ai de la misère, svp!
Se retournant, me dévoilant un dos tout tremper suite à la douche, je commençais à macler à ma tache.



J'approchais la serviette de bain de ces omoplates, je l'entendis rire de frissons, je continuais à lui frotter le dos, sans me rendre compte que mes mains avaient glissé au niveau de ces reins.

Dois-je prendre un risque, tout en me laissant guider par les courbes de ces hanches.
Je pris donc ce risque non calculé et me dis avec étonnement :
- Attention-là ! Qu'avais-je fait, si ce n'est que prendre mon amie par les hanches, sans aucun arrière penser érotique ?

Me demandant de sortir, aussi rapidement, que j'étais entré. Sorti de la salle de bains, j'allai à la cuisine, me service un vers d'eau, quand j'entendis mon amie venir me rejoindre.

Elle était vêtue d'une simple chemise de nuit, qui laissait paraître... À vous d'imaginer.
De rose bonbon vêtu, s'avança vers moi, ouvris l'armoire ou se trouvais les verres, ce issa sur la pointe des pieds, et par mégarde, me frôla de sa gauche.

Elle se ravisa et vit que j'avais déjà un verre d'eau à la main, me demandant :
- Puis-je boire à même ton pour prendre ma pilule, je lui demandai en retour de qu'était cette fameuse pilule :
- C'est simplement une pilule anti-contraception, me répondit-elle.

Le verre à la main, porta la pilule à ça bouche, pris une gorgé d'eau. Toute en prenant ça gorger d'eau, elle me regarda d'un œil moqueur, comme si elle préparait un mauvais coup, tel un diable avec des ailes.
- Ma pilule est prise, je suis tranquille jusqu'à demain, avec un certain soupir de soulagement et d'angoisse de peur que ça ne fasse pas effet.

Il était rendu au-delà de 22 h 30, quand elle dit :
- Je suis fatigué, je vais aller dormir.

Je lui offris donc l'hospitalité de ma couchette, à moitié vide,
Avec étonnement, elle accepta, tout surpris de ma propre réaction, je lui donnais le chemin qui mena à ma chambre, elle prit donc cette direction. La regarder aller, réveilla en moi, la bête que j'avais réussi à calmer quelques instants plus tôt.

Regarder sa croupe, se balancer de gauche à droite, me donna de drôle d'envie.
Me retenir d'avantage était impossible, je décidais donc d'aller la rejoindre dans le lit,
Je lui posai une question toutes simple :
- J'ai envie de toi, une amie, impossible à toucher, comment ?


Elle répondit à ma question sans aucune gêne et me dit :
- C'est très tentant, mais j'ai fait vœu d'aucunes relation hors mariage, déçu, j'essayais de me repentir avec de nouvelles questions et phrase maladroitement dites.

À peine, la question poser et répondu, un baiser sur la bouche sur la bouche me fut donner, non sans une certaine déception, avec aussi le sentiment d'avoir obtenu ce que je voulusse.

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