30 août 2014

Sexes & passions

Cette soirée ce passe du 6 Juillet 2011 au 7 Juillet 2011 tard dans la nuit : Au Ritz Hôtel de Paris

On m’ouvris la porte, c’était Mme LeCavalier qui m’ouvris à ma grande surprise, croyant quelle était en couple ou marié.
-  Bonsoir Mr. LeBlanc, que puis-je faire pour vous? D’une voix proche de la fatigue.
   Êtes-vous heureux? Moi pas! Ça ce voyais qu’elle avais but à grande gorgé.
-  Pourquoi n’êtes-vous pas heureuse chère dame?
-  Je vais vous dire pourquoi, ce soir précisément, je ne suis pas heureuse,
   Cela fait déjà plusieurs mois que, je n’est couché avec un homme.

Vêtu d’un simple petit déshabiller noir en dentelle, d’un String et de bas niellons aussi de même couleurs, je ne pouvais résister à la tentation. Elle alla ce rasseoir sur le canapé, d’où elle était venu. Me demanda de m’asseoir près d’elle, je fit de même. Pris la bouteille de vin qui était visiblement un Château Pétrus, y buvais à même le goulot, elle avais dit-elle fait venir ce grand cru du Ritz Bar, qui ce trouvais au rez-de-chaussée. Elle me demanda, avec une voix qui commençaient réellement à dérailler :
-  Pourrais-je vous sucer cher monsieur? Vous n’avez nullement besoin de me payer.
-  Pourquoi dites-vous cela? Elle riait sans retenu et commença, lentement mais sûrement, à s’approcher de moi.
-  Vous êtes très généreuse, mais je ne peux accepter. Même si cela est tentant.

Du regard, elle me fusilla, s’approchant de moi de plus en plus, je ne pouvais résister plus longuement, allez, je fonce!
-  Veux-tu te faire baiser ma belle?
-  OOOOOui! Suite à l’effet de l’alcool, incapable de cesser de rire.

Elle ce laissa tombé lentement du canapé, ce mis à quarte pattes, commença à marcher en ma direction. Rendu en face de moi, ce mis à genou, écarta lentement mes jambes. De ces mains douces, me caressais. Assis sur le canapé, je la regardais. Me laissant faire sans aucune retenu. L’érection, sur le point de ce produire, me laissa sans voix. Tout doucement, elle commençait à défaire ma braguette. Au risque de me faire jeter à la porte :
-  Mme LeCavalier, je suis marié et père de famille.
-  C’est encore mieux, pourquoi ne pas briser les règles? Juste pour cette fois.

Ne disant rien, je décidais de continuer à jouer le jeu, mais quelle jeu?
Tout était réel, dans mes pensées les plus profondes, un rien me fit revenir à la réalité :
-  Êtes-vous entrain de me sucer Mme LeCavalier, si oui, n’arrêter pas, était-je toujours dans mes pensée ou la réalité, je senti alors un spasme d’excitation, qui me rappelais la réalité.

Ce déshabillant d’une main, tenant mon sexe de l’autre, elle me suçais d’une telle fougue que, je me serrais cru dans un film porno. Stoppa net la fellation, ce leva, embarqua sur moi,
Je n’arrivais pas à y croire, elle voulait vraiment la baise complète :
-  Es-tu bien installé? Avec ça voix, toujours aussi enrouiller
-  Oui, oui! Très bien merci, comme ça, tu veux te faire baiser?
-  Comprenez bien une chose Mr. LeBlanc :
1. Ne me tutoyez pas, en aucune façon
2. Vous ne me baiserez pas
3. C’est moi qui vous baise! Compris ?
-  Très bien comme vous voulez.

Elle portait une culotte de bikini avec lacet, qu’elle détacha tout doucement, la retira avec délicatesse, au moment ou je venais poser mes mains, sur ces seins si voluptueux, recouvert de son petit déshabiller noir, elle me les retira :
-  4. On ne touche pas!

Pris mon pénis dans ça main, le fit glisser sur son entre jambe, comment ne pas aimer, ce que je vivais à l’instant présent. Si exciter et mouiller, Mme LeCvalier commença à pousser de petit cri de plaisirs, tout en ce caressant les seins et suçant son doigt, d’un seul coup, elle fit pénétrer mon sexe dans son vagin tout humide. À peine commencer, j’avais déjà des sueur incontrôlé :
-  Voooous êêêêtes siiiiiiiiiii BONNNNE! Incapable de penser, j’aurrais tout donner pour pouvoir la caresser ne serrais-ce que quelques instant.
-  CiiiiinnnnnnQQQQQ. OOOOOOn nnnnne paaaaarleeeeeeee paaaaaas! Voyais qu’elle était exciter, je reposais mes main sur ces seins, elle n’essayais même pas de les retiré, c’était si bon.
Ils étaient ronds et voluptueux, comme ceux que l’ont voix sur les mannequins de magasin.

Ça faisait maintenant une bonne grosse heure que Mme LeCavalier, me baisait, sans retenu :
-  Stop, Stop Mme LeCavalier, je n’en peux plus, je suis épuisé.
-  Ça tombe bien, votre heure est terminée.
-  Mon heure, de quoi parlez-vous?
-  Je suis comment vous dire? Une pute de luxe, ça fera donc, attendez voir, une pipe, une baise.
1000€ l’heure, plus 200€ pour la bouteille de Château Pétrus.
-  Pas question, vous ne m’avez informé de rien, je refuse de payer ça.
-  Juste un instant voulez-vous, je vais appeler mon patron.

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